Naissance d’une passion
C’est au Portugal, à l’âge de 15 ans, que Miguel retrouve la guitare électrique de son père rangée dans une malle depuis des années. Il l’emporte avec lui en France pour une seconde vie et c’est là que sa passion pour l’instrument née.
Au départ, ses influences musicales sont plutôt blues, rock. Il rêve de grandes scènes et de guitaristes comme Jimi Hendrix, Carlos Santana, Éric Clapton, Slash ou même Angus Young.
C’est avec ses 2 meilleurs amis, Daniel Antunes et Gilberto Teixeira, qu’il crée son premier groupe les « Why notes ». Tant d’heures de répète dans ce petit studio de la MJC de
Ris Orangis, de la banlieue parisienne.
La technique au service
de l’émotion
Miguel devient l’élève de Jean-Patrick Voindrot, virtuose de la guitare jazz-rock. Il apprend avec lui les standards de jazz et s’ouvre alors à d’autres horizons. Il s’intéresse à toute cette musique et découvre Wes Montgomery, Pat Metheny, Django Reinhart…
Il intègrera ensuite un groupe de musique antillaise, les « ZK 2000 ». Il s’imprégnera de ces rythmes et de ces couleurs, ce qui le conduira aussi sur les chemins du reggae et de la musique cap-verdienne.
Il a l’opportunité d’entrer dans un orchestre de variété portugaise, les « Turma 5 ». Il y apprend les rudiments du métier : les kilomètres, les nuits blanches, la scène et le public !
Vers de nouveaux horizons
C’est en écoutant un jour « Entre dos aguas » de Paco De Lucia qu’il tombe amoureux de la guitare nylon, du son flamenco et de cet art. Il rejoint l’école de musique « Atla » à Paris où il débute son apprentissage du flamenco avec Claude Worms, pionnier français de la transcription de la guitare flamenca.
En 2003, Miguel arrive à Nîmes et continue à y travailler le flamenco avec Tony Pervenchon, guitariste expérimenté, disciple de Manolo Sanlucar et de Salvador Paterna, deux maestro de la guitare flamenca.
De la musique au chant
En 2012, Miguel va intégrer « Global Confusion», une formation mélangeant groove, funk, et soul. Ce sera pour lui le déclic de l’écriture et du chant. De cette expérience naîtra l’envie d’assumer le travail d’auteur, compositeur, chanteur/guitariste et non seulement celui du guitariste.
Retour aux sources
Comme une évidence, Miguel va « puiser » dans le fado, écouter et comprendre la musique de ses origines. Le Fado est rempli de saudades, ce sentiment profond que tout immigré, expatrié, peut ressentir loin des siens et loin de chez lui.
Il a la chance de croiser la route de Filipe De Sousa, professeur de guitara portuguesa à l’académie de Fado de Paris. Il apprend avec lui les techniques et styles de fado sur cette fameuse mandoline au son caractéristique.
Un artiste complet
Nourri de ses expériences et ses rencontres, il enrichit sa musique à travers les différentes sonorités de ses guitares : flamenca, électrique, fado.
Accompagné de ses amis et musiciens Patrice Gimenez, Dawoud Bounabi, Ludovic Mary et Tumi De La Cruz, il vous invite à venir voyager avec lui pour un mariage réussi entre le groove,
le reggae, le flamenco et parfois même la samba.
Basse
C'est en 2012 que Miguel rencontre Patrice lors d'un projet de groupe (Global Confusion) mené par la chanteuse Sandra Keïta. Aux vues de l'amour de la musique, du sérieux de chacun et des mêmes influences musicales, une fusion se crée entre eux.
Patrice est un bassiste d'expérience, il a participé à de multiples projets d'horizons variés dont "Rafer" en 2013 pour l'album "The black hole day". Il a également participé à la création de l'album "Sur le fil" de Stéphane Portelli. Il est passionné de groove et de fusion. Ouvert au monde, il aime aussi la musique africaine et de grands musiciens tels que Richard Bona, Manu Dibongo...
En recherche perpétuelle du groove, il aide énormément Miguel dans les arrangements.
Il donne le meilleur de sa personne pour toujours se mettre au service de la musique.
Saxophone
Saxophoniste autodidacte, il s'enrichit de nombreuses influences au fil de ses voyages, de la France à l'Amérique du sud, du Canada aux Caraïbes, en passant par l'Indonésie, l'Israël et bien d'autres pays du monde.
Il explore plusieurs styles mais s'oriente naturellement vers le Groove, le funk, le Jazz, le reggae et la Soul music.
Ludovic a contribué à de nombreux projets musicaux en France et à l'international, notamment avec Derek Martin, Benjamin Faleyras, ou encore le groupe On-Off.
Fort de son expérience, il a créé plus récemment le groupe 50 Groove.
C'est lors d'un tremplin musical que Miguel et Ludovic se sont rencontrés et qu'ils ont décidé de collaborer pour intégrer la chaleur du saxophone au projet musical de Miguel.
Percussions
Né au Brésil, de mère chanteuse professionnelle
et de père acteur de cinéma et de théâtre.
Caio est entré dans la profession de musicien
à l’âge de 13 ans en jouant de la batterie,
de la guitare et parfois du piano dans les bars
autour du quartier bohème de Bela Vista
à Sao Paulo, sa ville natale.
Une période qu’il considère comme la base de son développement musical. Caio a joué et collaboré avec de nombreux artistes brésiliens et internationaux : Filo Machado, Cauby Peyxoto, Paulinho da Viola, Tania Maria, Monica Passos
et le grand Stevie Wonder.
En 2018, Miguel contacte Caio pour un projet
trio flamenco "Guitare / Piano / Percussions"
De là, ils noueront une vraie amitié, qui viendra tous simplement se faire entendre lors de l'enregistrement de l'album.
Batterie et percussions
Après avoir commencé la batterie en autodidacte et travaillé les techniques de tambour et de caisse claire, il a intégré le Centre Musical Créatif de Nancy (CMCN, actuel M.A.I.) pour étudier avec
les nombreux batteurs intervenants
et obtenir son diplôme avec mention.
Il fait découvrir sa méthode intitulée
« LE BERNAIRE » et son concept « Du 12/8 au 4/4 ou effet ternaire dans le binaire »
dans les stages et master-classes.
Parallèlement à son activité d’enseignant, il partage la scène avec des artistes tels que : Miguel Sol, Fwad Darwich, Gut- Scrapers, Ludo et les alchimistes, Thierry Aymés, Claudia Urio, Fifty Groove, Alain Bruel Quartet, Franck Montbaylet Trio, Jean-Marc Padovani, Michel Marre,
Zogo d’Ewondo, Azouz Soudani.
Batterie et percussions
Batteur et percussioniste, musicien et pédagogue, Jérôme a parallèlement étudié les percussions
classiques et la batterie Jazz avant de découvrir les percussions digitales et de travailler l'arrangement.
Directeur adjoint de l’institut d’O Passo et formateur, il anime de nombreux stages dans toute la France. Reconnu comme un spécialiste des cultures Afro-américaines, ses recherches créatives et pédagogiques sont toujours liées à la danse
et au chant.
C’est en sillonnant l'Amérique et l'Afrique qu'il collabore avec des artistes de renommée
internationale au sein de nombreux groupes et projets artistiques ambitieux tels que le projet qu'il dirige « Geronimo yoruba cuerdas ».
Ses collaborations discographiques sont nombreuses et éclectiques.
Studio Novason
La rencontre avec Tumi se fera en 2012, à Nîmes, comme une évidence.
Tumi est un ingénieur son mais pas seulement,
il est un pianiste de grande qualité
avec un sens aigu pour le détail.
Passionnés de Jazz et de flamenco il était juste
normal qu'ils viennent à se rencontrer un jour.
D'origines Péruviennes, Tumi apporte
sa couleur, sa sensibilité, sa patte Jazz / Latino.
Il ouvre les portes de son studio "Novason"
à Miguel pour "Carence d'amour"
ce qui promettra une jolie aventure musicale
et humaine.